Comme je revisite actuellement le répertoire de mes toutes jeunes z'années, il était évident que je retomberais tôt ou tard sur celui de Kim Wilde... Ah la la, Kim... Elle (comme quelques autres) ont bercé mes émois de.. euh.. de musiques, bien évidemment. Et ceux de beaucoup d'autres, à n'en pas douter, à commencer par M. Laurent Voulzy himself qui lui a même dédié une chanson, à laquelle elle a d'ailleurs participé, montrant là son sens de l'auto-dérision
Ci-après, donc, deux ou trois vidéos qui, je pense -bien partialement, j'en conviens !-, résument assez le parcours de la demoiselle... qui ne doit plus être très fraîche aujourd'hui (oh, le goujat !). Tout ça sonne bien sûr très 'Années 80', mais je ne vais pas renier mes vertes années non plus : quand j'entends ce qui se fait aujourd'hui, je me dis que, finalement, nous étions de sacrés veinards ! (et non, je ne suis absolument pas objectif, mais n'est-ce pas que l'on s'en fiche ?!?)
En tous cas, take care, dear Kim.
Cambodia, ce titre fait partie de mes tout premiers souvenirs d'éveil musical... et m'a accompagné souvent, tout le long des années. Ce n'est que très récemment que j'ai compris le sens de la chanson, qui était fort éloigné de celui que j'avais toujours fait mien. Merci Internet !
You Came. Hmmm, si tu savais combien de fois j'ai rêvé que I wish I came...^_^ D'accord, la musique fait très 'variétés' des *Eighties*, avec ces claviers que n'auraient pas reniés les fameux Stock/Aitken/Watermann, véritables usines à 'tubes' de cette période, mais que voulez-vous : mes oreilles ont beau s'ouvrir naturellement à tout ce qui se fait, elles n'en restent pas moins très orientées vers les origines de leurs premiers contacts avec les extra-terrestres.. euh, les musiques d'antan, j'veux dire. Sorry, zemagourré de console...
Never Trust a Stranger. Et dire que je t'ai écoutée : je n'ai plus jamais fait confiance aux étrangers... ni à personne d'ailleurs !! Ah la la... Je te revois, invitée sur le plateau d'une émission cultissime (?) d'un Jean-Pierre Foucaud tjrs aussi facétieux et aux cheveux tjrs aussi climatisés (comprenne qui voudra...); tu étais venue interpréter en play-back ce titre qui me faisait me demander combien de poumons tu avais pour pouvoir aller chercher aussi loin les notes. Ce n'est qu'à l'invasion, pardon : à l'avènement des chanteuses dites 'à voix', que je t'ai rendu ton humanité, les déesses avaient fait leur temps dans ma tête et .. hem.. dans mon corps.. (*sifflotte*).
D'ailleurs, je lance un Kimthon pour que Céliiiiiine Dion fasse sa propre interprétation de ce titre, juste pour je voie et surtout entende les notes se pendre avec les cordes vocales ! (T'inquiète pas Céline, je t'aime bien toi aussi, pour d'autres raisons, sauf peut-être quand tu massacres ma radio sur la B.O. Titanic : là, je peux pas, suis obligé de tuer un mammouth. Non, je ne parle pas de ton R'né...).
Voilà donc Les nuits sans Kim Wilde. Appréciez la prestation de Miss Kim donnant la réplique en choeur à ce tombeur malgré lui de Laurent Voulzy ! Bon, il faut reconnaître que ce dernier est bien meilleur compositeur, auteur et interprète... qu'acteur ! Sauf peut-être à la fin, quand Kim en personne vient lui chuchoter [dans un français à faire péter les boutons de braguette... euh, à faire pâlir de jalousie une Anglaise que j'ai connue dans une autre vie] qu'il est "l'heure d'aller dormir" : bonne idée, ça, Kim. Do you want me to come ? Damned ! I forgot my so pretty R5 coupé Sport in front of zi hospice.. so I won't come and see you this night, as I am totally désaxed, can you comprends me ?