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•••   É𝐜𝐨𝐭 𝐝𝐮 𝐒𝐢𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞   °°°

••• É𝐜𝐨𝐭 𝐝𝐮 𝐒𝐢𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞 °°°

Dernier Vertige avant l'Oubli.


Ceinture de tasse de thé.

Publié par Fil@ment sur 2 Août 2009, 21:50pm

Catégories : #*Fou d'aises & foutaises*

Ci-gît un dessin ultime, un torchon brûlé de glace :

Autoportrait d’un café, autodafé d’un portrait ;

Un univers si intime à l’index de tant d’atlas,

Où l'on usine les fées comme autant de vaches traies.


Juste un dernier café ; dessinez-nous un dieu,

Posé sur le comptoir, entre deux vers d’absinthe ;

Qu’on l’entende piaffer, et se traiter d’odieux.

Verbeux suppositoire, ignorance succincte,

Si fécond de Morphées, de soleils si radieux,

Et de divins trottoirs dont tu te rends enceinte.

 

Ci-gît mienne connerie, ce cher ‘i’ sous mon point G,

L’autre besoin de s’y croire, de formuler des vœux pieux,

D’échafauder, Théo rit, une existence en viager :

La bêtise est mon terroir au long cours si compendieux.

 

Voici leurre du thé, Saint-Marc trop spirituel,

Ou spiritueux, salon, de beauté qui devine

Et lit dans la bonté son ordre conceptuel,

Ou consciencieux, selon, futilité divine.

Boire à notre sang T, ces torrents conflictuels

Qui roulent sans essieux au fond de nos ravines.

 

Ci-gît le vent dans les neurones, ii fait bon vivre en enfer,

Le chemin d’un pas raidi, marchons yeux et volets clos

Pavés de testostérones, pourquoi faudrait-il s’en faire ?

L’immonde est quadrupédie, gouvernail sans matelots.

 

Donnez-nous un croissant, pour finir cet en-cas,

Décrochez-nous des lunes, le ciel n‘en aura cure,

L’oracle est finissant, déjeunons sans fracas,

Causes et fosses communes, rappelez vos piqûres.

 

Juste un nuage de lait, sans ciel ni divinités,

Des amours pour seuls repères, du sel pour pisser nos vies,

De beaux desseins bien plus laids que l’amorphe éternité

A l’orée de ces repaires, qui voient et dévoient nos vits, 

 

Des désirs d’infinité, cette espèce brise-lame,

Qui ne dira son vrai nom qu’au café du dernier vice ;

Pour un oui, pour un non, du vil en self-service,

Car si A finit T, ce thé est donc sans âme.

Ci-gisent vos fées, ces vaches qu'on trait;

Ni corps ni café, vos boeufs cons, distraits.


Allez, Tavernier, sers-nous de ton meilleur breuvage :
Du chlore pour tout le monde,
De la cigüe pour les autres,
Et du curare pour le reste.
La Terre comptera ses grains de poussières,
S'il reste assez d'eau pour qu'elle y noie son comptoir.


(N.B. : Une seule aspirine à la fois, pour faire plaisir à ma maman.. pardon : *pour faire plaiz' à ma reum'*. Donc, pas de refourgage de masse cette fois. Alleluia !)

 

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P
Et une grande aspirine, encore...Je me demande d'où tu sors tout çà ? Heureusement que je n'ai qu'un exemplaire de chacun de vous ! Tu imagines 2 de chacun de vous ? Ahhhhhhhhhhhllélouia,allélouiaaaaaaaaDire que tout le grabuge de ma tête reste dans ma tête...Je ne m'aventurerais pas, même sous pseudonyme indétrônable, à sortir tout ce qui fourmille sous mon casque chevelu...Je l'emporterais avec moi sous d'autres cieux, d'autres pays (comme dit la chanson)allez, je repasse plus tard
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F
<br /> Si je le savais, d'où viennent ces **********. Mais toi tu devrais le savoir, non ? Fallait pas me faire naître, aussi !!<br /> Tu te plains des exemplaires clonés de l'absurde, mais imagine juste deux secondes un seul exemplaire de cette fameuse dame du McDo : tu serais bien contente d'en avoir 10 comme moi !!!!<br /> Bon dimanche ss les pins, et dis à Francisco de déstresser, au pire il dessinera des tapirs sur les arbres, comme au bon vieux tps des cavernes.. et on en reparle dans 10 000 ans, il sera célèbre,<br /> et je pourrai dire que je l'ai connu ^^<br /> <br /> <br />

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